Trouver la joie au milieu du chaos – Partie 3 de 4

Indianapolis – Indiana, 25 et 26 juillet 2020

Temps de lecture : 10 mn

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Salutations très chers, je suis Kryeon du Service Magnétique.

Voici ce qui va être le troisième message sur quatre, portant sur la joie. Et nous avons intitulé la série « Trouver la joie au milieu du chaos ». Et dans la première canalisation, nous avons défini les propriétés thérapeutiques de la joie, de véritables propriétés thérapeutiques modifiant la chimie de l’être humain.

Nous avons parlé des temps que nous traversons à l’heure actuelle, avec le Covid. Nous avons parlé d’inquiétude et d’anxiété en fait, peut-être parce qu’elles rendent encore plus malade que le virus.

Parce que l’incertitude qui marque les temps que nous traversons aujourd’hui n’est pas différente de celle qui les marquait hier. Dans la deuxième canalisation, nous avons parlé de manières de trouver la joie sur le plan personnel, certains des attributs que nous avons mentionnés afin que vous puissiez trouver la joie en des temps où elle semble bien peu présente. I

l est encore tellement important, très chers, que vous profitiez de ces attributs, et que vous les considériez également d’un point de vue académique, parce que telle est la joie. Elle n’est pas simplement une émotion, elle peut être un état d’esprit. Et si c’était une règle de physique ?

Dans un sens, c’est peut-être le cas. De manière ésotérique, nous vous avons donné certains des éléments un peu plus tôt. Il y a quelques semaines, nous en avons parlé de bien des manières différentes et de nombreuses fois.

Ce troisième message parle de vous avec les autres. Nous avons parlé tant de fois de la beauté qui caractérise la raison pour laquelle les vieilles se trouvent ici. Et je dis “beauté” parce que cela vous fait sourire de penser que peut-être le travail, si vous voulez l’appeler ainsi, des vieilles âmes consiste à répandre la , la joie, à faciliter l’énergie autour d’eux et de leur et à montrer ce que la pourrait être.  

Et ainsi, cette canalisation particulière porte sur deux, trois attributs dont vous pourriez vous servir quand vous êtes en contact avec les autres, ou peut-être à vous donner certains avertissements sur des choses que vous savez, mais qui sont difficiles. Encore une fois, cela a à voir avec la joie, avec les rires, avec la paix de l’esprit.

Ainsi, nous allons tenir pour acquis que vous avez écouté la première et la deuxième canalisation et que vous êtes maintenant prêt pour la troisième. Si vous ne savez pas où trouver la première et la deuxième, c’est simple.

Mon partenaire le répète encore et encore, elles se trouvent toutes au même endroit. Sur ce que vous appelez son site Web. Parlons du premier attribut. La négativité est une habitude. Et nombreux sont ceux qui l’enseignent. C’est ce qu’enseigne Marilyn, par l’entremise Adironnda. Elle a même des méthodes pour nous le rappeler quand nous tombons dans l’habitude.

Et voici ce que je veux dire : culturellement, vous êtes habitué à certaines phrases, à certaines manières de faire les choses, à certaines attitudes. Culturellement, vous voulez trouver votre place. Et ainsi, si souvent, par habitude, vous êtes négatif, et vous ne le savez même pas.

Si vous allez aider les gens qui vous entourent, vous n’allez pas pouvoir le faire en étant négatif. Et vous direz : “Eh bien, je ne suis pas négatif, je suis quelqu’un de positif.” Et je répondrai : “Vous êtes peut-être quelqu’un de positif qui a de mauvaises habitudes.

Et vous direz alors : “Bon, qu’entendez-vous par là ?” Ce n’est pas négatif que vous ayez une pour tout ce qui sort de votre bouche de manière automatique. Quelque chose vous arrive ou vous êtes face à une situation et vous le voyez, et immédiatement vous dites : “Je savais que ça arriverait.” Que s’est-il passé ?

Arrêtez tout. Il s’est passé que vous avez dit à votre corps, à vos cellules, à l’, à quiconque écoute, à tous les guides, à votre âme, que vous vous attendiez à de la négativité. C’est une habitude. Maintenant, que vous vous y attendiez ou non, c’était une habitude. Et ceux qui vous entourent l’entendent.

S’il y a d’autres humains, membres de la famille, ou enfants par exemple, qui étudient la façon d’être de leurs parents, vous laissez échapper des choses qui pourraient être négatives, et ce n’est pas votre intention. Ainsi, le premier attribut est le suivant : écoutez-vous parler.

Écoutez ce que vous dites dans certaines situations, et soyez conscient du fait qu’une part tellement importante de cela est culturelle, parce que la culture dans laquelle vous évoluez, très chers, est négative – au cas où vous ne le saviez pas déjà. Observez vos médias, et voyez ce qu’ils font pour capter votre attention.

Est-ce positif, et réjouissant, et plaisant ? Et la réponse est non. Plus ils vous exposent à des horreurs, plus ils ont de spectateurs. Vous évoluez dans une culture négative, et vous avez les habitudes de votre culture. C’est le point numéro un.

Numéro deux, c’est un élément actif. Cela veut dire qu’il exige du travail. Quand vous êtes en contact avec les autres, les amis, la famille, les associés, peu importe, faites de votre mieux pour refuser la négativité, sans confrontation. Cela est essentiel.

Ne mettez personne dans le tort par vos propos. Au lieu de cela, montrez-leur comment vous incarnez la différence. Par exemple – et c’est difficile – vous dites : “Quelle belle journée !”, et l’associé, ou votre partenaire, ou un membre de votre famille répond : “Pas pour moi, vraiment pas.

Et vous dites : “Eh bien, ça va peut-être changer.” Et la réponse sera : “Pas aujourd’hui, non.” Ce que vous commencez à voir, c’est de la négativité, et vous n’arrivez pas à y croire quand vous commencez à réaliser combien il y en a chez les gens qui vous entourent, qui ne semblent pas vouloir dire quoi que ce soit de positif à propos de qui que ce soit, y compris d’eux-mêmes.

Alors, vous dites : “Tu as l’air en forme aujourd’hui”, et ils vous répondent : “Euh, oui. Mais tu aurais dû voir de quoi j’avais l’air hier. ” Autrement dit, il n’y a absolument aucune entente. Il ne semble pas que vous puissiez même parvenir à ce qu’on appelle le “premier palier” en ce qui concerne n’importe lequel de vos propos.

Et malgré tout, je vous dirai : vous faites une différence. Les témoins de ce processus le verront. Vous serez reconnu comme une personne positive. Ce qui sort de votre bouche ou ce que vous dites sans aucune volonté de confrontation, sans dire : « Mais pourquoi es-tu toujours aussi négatif ? » – Ne faites jamais cela.

Au lieu de cela, vous essayez de rendre les choses aussi positives qu’il est possible, même pour ceux qui ne semblent pas l’apprécier ou le vouloir. Et je vais vous dire pourquoi. Parce qu’entre les deux consciences, celle qui est la plus attirante, celle qui est la plus sensée, celle que les gens veulent voir, c’est vous.

Comment vous sentez-vous quand vous êtes en contact avec quelqu’un qui est toujours négatif ? La réponse est que ce n’est pas drôle. Ce n’est pas motivant pour vous, c’est du travail. Et ainsi, lentement, vous commencez à voir que si vous ne pouvez pas les changer, vous les avez au moins confrontés à ce qui est positif, vous leur avez donné un choix.

Il se peut que d’autres personnes autour de vous voient ce qui se passe et changent véritablement la nature de leurs propos, ou leur manière de penser. Eh bien, il ou elle a raison, c’est un bon moment pour recentrer nos pensées sur des choses positives, pour faire des changements, parce que nous ne pouvons pas sortir ou nous ne pouvons rien faire, alors que pouvons-nous faire d’autre qui soit drôle, et joyeux, et excitant ?

Faisons-le ensemble. Cela arrive, et il se pourrait que ce ne soit pas arrivé si vous n’aviez pas été positif devant vos amis. Ne les confrontez pas, mais montrez-leur plutôt ce qui est bon. Numéro trois, le plus difficile de tous. Vous ne m’avez pas souvent entendu dire cela. Il y a des êtres humains qui s’investissent littéralement dans la négativité.

Toute leur , c’est tout ce qu’ils ont été ou vu, et leur personnalité est négative. Ça se voit. Ça se sent. Parce que votre bonheur les irrite. Votre bonheur les irrite. Vos pensées positives, votre désir de voir les choses autrement…

Ce n’est pas quelque chose qu’ils envisagent. Ils vous regardent et ils disent : “Va-t’en petit, tu m’ennuies.” Ils se complaisent dans la négativité, et ils ne changeront pas. Ces gens-là existent, et vous savez que j’ai raison. Que faites-vous de ces gens ? Et la réponse est : ne restez pas avec eux.

Et vous direz : “Mais c’est dur, c’est ma famille.” Je parle à un groupe de personnes en ce moment, vieilles âmes, et vous savez exactement de quoi je parle. Parce que parfois, vous vous êtes éloigné de votre famille. Je sais qui écoute. La chose la plus difficile que vous puissiez faire est d’y retourner pour des vacances, et d’observer toute la négativité fuser autour de la table. Et ils ne le savent même pas.

Vous les irritez quand vous parlez d’espoir pour la . Vous les irritez quand vous riez trop. Alors, si vous ne l’avez pas encore compris, parfois vous ne pouvez pas réparer les gens, et la seule solution consiste à vous en éloigner et à trouver ceux qui pensent comme vous, qui croient qu’il y a de l’espoir pour la planète, pour eux-mêmes, pour leur , pour la vie.

Dernier point, nous l’avons dit auparavant, la joie peut être contagieuse. Vous ne livrez pas nécessairement une rude bataille contre votre famille et vos amis. S’ils sont ouverts au changement, et vous savez ou pouvez essayer de déterminer qui ils sont, ils se motiveront eux-mêmes, directement, à être avec quelqu’un de positif, qui sourit beaucoup.

Je vais maintenant parler de cela. Quelqu’un qui écoute ce qu’ils ont à dire sans émettre de critique, ou sans avoir d’habitudes négatives. Quelqu’un qui ne prendra pas nécessairement part à des discussions politiques parce que cela ne marche jamais. Ou s’il le faut, qui en dira très peu, ou qui évoquera ce qui est positif, le plus possible.

C’est le genre de personne que les gens veulent fréquenter, très chers, et je l’ai dit auparavant. Choisissez votre préféré, qui que ce soit sur cette planète, et pensez à sa vie, et à ce qu’il a fait. Passait-il son temps à formuler des critiques ? Et la réponse est : jamais. Ce qui venait de sa conscience, et les messages qu’il avait à transmettre étaient toujours encourageants. Toujours à parler de ce qui est possible.

Toujours à donner de l’espoir. Et il l’a fait de manière bienveillante. C’est là la maîtrise. La joie est contagieuse, très chers, et plus vous la répandrez, plus vous l’afficherez, plus vous trouverez votre groupe. Très chers, voici comment vous pouvez toucher les autres avec ce que vous avez, c’est-à-dire votre nature joyeuse. Nous serons de retour pour le prochain message au sujet de la joie.

Et il en est ainsi.

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