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Salutations, très chers, je suis Kryeon, du Service magnétique. La plupart des gens écoutent ceci et ne comprennent pas que de nombreuses fois avant que je donne des messages, il y a quelqu’un qui les a donnés avant moi. L’énergie d’Adironnda, si belle, des mots ruisselants d’amour et de vérité.
Parce que quand des messagers se rencontrent, très chers, ils vous donnent essentiellement le même message. Je voudrais poursuivre mon message de joie. C’est un message que je donne depuis maintenant deux jours.
Il s’agit ici du quatrième de quatre messages, « Trouver la joie au milieu du chaos ». La présente canalisation n’est pas tant instructive qu’énergétique. Parce que je veux vous donner la vérité de la joie. La véritable vérité de la joie. Comment est-elle perçue par l’Esprit, la joie? Comment est-elle instinctivement perçue par l’humanité, la joie? Je vais donc commencer par quelque chose d’inattendu pour vous.
Je vous ai informés, depuis des années maintenant, du fait que cette planète se morfondait dans l’ancienne énergie, et la véritable raison de ma présence ici est que cela va changer. Depuis la nuit des temps, littéralement, l’humanité se trouve dans un état de conscience peu élevé et elle n’a jamais pu en émerger. Pas vraiment. Elle a connu des temps de paix, mais elle est toujours retournée en guerre, encore et encore.
L’humanité n’a jamais connu de cohérence, il y a toujours eu de la méfiance, essentiellement entre les personnes de différents pays qui ne se parlaient pas, ou même si elles le pouvaient, dont les dirigeants ne le permettaient pas. Cette planète a vécu dans un état de conscience peu élevé depuis si longtemps et elle commence maintenant à changer. Mais parlons de joie, de bonheur, de leur attribut inné qu’est le sourire.
Mon partenaire a voyagé à travers la planète et a beaucoup appris. Il n’était pas nécessairement préparé à l’accueil qu’il a reçu dans deux pays – dont je tairai le nom – et dans ces pays, on l’a informé qu’il souriait trop.
Et il s’en est trouvé déconcerté, et il a dit : “Que voulez-vous dire?”, et on lui a répondu : “Eh bien, dans notre culture, il n’est vraiment pas convenable de sourire parce que cela signifie que vous cachez quelque chose. Vous voyez, ce sont les personnes malhonnêtes qui sourient”, lui a-t-on dit. Il n’y a pas prêté attention.
Ce qu’il a dit était simplement sa réaction à ce qu’on lui avait appris. Il se trouvait dans un de ces pays, dans un petit restaurant, et une jeune personne – d’à peine 18 ans – s’est penchée sur sa table, et a dit doucement : “Je suis sur Internet tout le temps et il semble que les Américains, ils, ils sourient tout le temps. Est-ce que, est-ce la vérité Monsieur? Parce que je sais que vous êtes Américain, je le vois.”
Et mon partenaire lui a répondu : “Eh bien, ils ne sourient pas tout le temps, mais nous sourions effectivement beaucoup.” Et il n’a jamais oublié sa réponse. Elle lui a dit : “J’aimerais que ce soit comme ça ici.”
Ce sont les jeunes, qui commencent à aller sur Internet, qui commencent à aller sur Internet, qui commencent à voir tellement de choses qu’ils n’avaient jamais vues, et qui apprennent quelque chose qu’ils n’ont jamais su. Pourquoi la joie se trouve-t-elle réprimée quand on veut obtenir le contrôle? La raison en est que la joie est une des principales énergies divines de la Source
créatrice. Pour ne pas dire la principale. Pour les gens de ces pays, je voudrais parler à leurs mères et dire : “Quand vous avez un enfant, et que vous revenez à la maison avec lui, et que vous ressentez tellement d’amour pour lui, que faites-vous?
Qu’est-ce que votre première intuition vous dit de faire? Vous penchez-vous sur l’enfant pour lui apprendre à froncer les sourcils? Et la réponse est non (rires)! Vous le touchez pour le faire réagir, le chatouillez, et vous voulez qu’il sourie, n’est-ce pas?” C’est l’instinct.
Toutes les mères sans exception le savent. Vous n’enseignez pas à vos enfants comment être malheureux. Ils l’apprendront tous seuls, en vous observant. Si c’est là votre choix. Mais la première chose qu’une mère fait, c’est de faire rire son enfant, parce que quand l’enfant rit, votre monde s’illumine, et vous le savez. Cela vient de l’autre côté du voile, très chers. Je veux vous donner un exemple.
Je veux, je veux vous guider à travers quelque chose. Les êtres humains sont très linéaires, et vous n’avez aucun cadre de référence, en dehors du vôtre. Il ne s’agit pas d’une condamnation de votre nature, c’est simplement ce qui est. Il ne peut pas en être autrement.
Vous avez pour seule référence ce que vous voyez, et qui vous êtes. Si vous pouviez faire des allers et retours vers une autre réalité, vous seriez alors capables d’y faire référence, et d’en parler, mais ce n’est pas le cas.
Vous avez cette réalité, qui est vous. Dans cette réalité linéaire dont vous faites l’expérience, il y a un humain, un nom, un visage – c’est vous, vous le voyez tous les jours dans le miroir. Vous ne vous concevez pas comme un être multiple, même si vous êtes une forme multidimensionnelle, dans un sens. Vous ne voyez pas votre âme quand vous vous regardez, alors que vous en avez une.
Vous ne voyez pas le Créateur quand vous vous regardez, bien que vous fassiez partie de lui. Votre réalité est constituée de ce que vous pouvez voir, et toucher, et ressentir. On vous dit d’ailleurs que, quand vous mourez, votre âme se rend quelque part et que quelque chose se produit, en fonction de ce en quoi vous croyez. Mais comment l’envisagez-vous? Et je vais vous le dire.
Un être humain se voit dans son corps, qui représente son âme, et il se voit se rendre, peut-être pour y être jugé, ou non, vers un être, ou pas, mais il se voit comme il existe en 3D, dans son corps, qui se rend peut-être au Paradis. Il est si intéressant d’entendre certaines des questions qui sont posées au sujet du Paradis.
Les spiritualistes ont entendu les humains leur demander pendant des années : “À quoi ressemble le Paradis? Pouvons-nous, pouvons-nous voir, comme nous avons vu? Comment pouvons-nous voir si nous n’avons pas d’yeux?”, dites-vous. Telles sont les questions.
Une de mes préférées qui m’a été posée par mon partenaire est la suivante : “Y a-t-il des chaises berçantes au Paradis?” Parce que, pour l’humain qui a posé la question, il n’y a rien de mieux que de s’asseoir dans la chaise berçante, et d’observer.
Et ainsi, vous voyez, vous appliquez même votre propre réalité aux choses ésotériques d’une autre dimension qui nous viennent du Créateur quand vous pensez à où vous pourriez aller à votre mort.
Mais vous mettez cela sous une forme humaine, dans une forme tridimensionnelle, vous vous voyez comme vous êtes, et vous vous demandez : “Comment puis-je voir sans yeux?” J’ai une métaphore pour vous. Vous la comprendrez. Prétendons que vous êtes une chenille.
Prétendons que, dans cette histoire, cette chenille a un niveau de conscience un petit peu plus élevé que ce n’est le cas, et peut penser comme vous. Dison que cette chenille se pose les mêmes questions que vous vous posez quand elle entre dans un sommeil profond.
Vous savez où je vais avec cette histoire. La chenille elle-même, telle qu’elle existe aujourd’hui, sur Terre, voit à peine. Les chenilles peuvent différencier la lumière de l’obscurité, et voir des formes, et c’est à peu près tout. Cela leur suffit parce qu’elles ne connaissent rien d’autre. C’est leur vie.
Et la chenille se demande : “Quand je vais rentrer dans ce sommeil profond, dans ce vaste au-delà, où on me dit que je volerai comme un oiseau, comment pourrai-je voir? Pourrai-je voir aussi bien que maintenant? Je l’espère!” (rires). C’est la même question que vous posez: “Comment puis-je voir sans yeux? À quoi cela va-t-il ressembler de ne pas avoir mon corps et qu’est-ce que, que pourrai-je voir ou ressentir, et que va-t-il arriver?”
Et la chenille se pose cette question, et cette question, commence à y réfléchir, peut-être même à se faire du souci à ce sujet. Et ensuite, elle rentre dans le sommeil profond, elle rentre dans son cocon, et la magie opère. Il n’y en a pas beaucoup que vous puissiez observer, très chers; la métamorphose de cette chenille est un miracle.
Quand la chenille émerge sous forme de papillon et qu’elle étend ses ailes pour véritablement voler comme un oiseau, regardons ses yeux. La chenille s’inquiétait pour ses yeux. Ce papillon voit des milliers d’images claires. Ce papillon peut voir la lumière ultraviolette et la lumière polarisée.
Ce papillon peut voir les couleurs qu’il a besoin de voir en vue de la pollinisation des fleurs. Il voit cent fois, mille fois, mieux, et différemment de ce que la chenille n’a jamais pu imaginer au sujet de ce que sa vision serait. Quand vous poussez votre dernier souffle, et qu’un peu de temps s’est écoulé, votre âme fait l’objet d’une métamorphose. Et je peux vous dire que votre âme commence à voler, et que vous n’avez plus de globes oculaires.
Vous voyez. Vous ne savez pas ce que c’est que de voir. Vous voyez, et, et vous ressentez, et vous savez, et vous êtes conscients. Vous ne savez même pas ce que ces mots signifient en comparaison de ce que vous aurez. Parce qu’être un humain sur Terre est tellement différent de ce qu’est le retour à la maison.
C’est une condition temporaire et limitée, que nombre d’entre vous endurent sans joie, sans jamais comprendre que la joie est sacrée. La joie vient du Créateur. C’est ce qui se trouve au Paradis. La joie. Et quand vous volez comme un oiseau, vous ne voyez pas seulement aussi bien que, eh bien, vous pensiez que vous pouviez voir en tant qu’humain, mais vous pouvez également voir des lumières que vous n’aviez jamais vues. Tout le spectre. Nous chantons votre nom dans la lumière.
Nous ne pouvons pas expliquer ce que vous devenez, qui vous êtes. Laissez-moi vous dire quelle est la première chose que vous ressentez.
Oh chers humains en forme linéaire, vous vous voyez mourir, et vous vous voyez en tant qu’être humain sous une forme linéaire, peut-être en train de monter un escalier, vous allez rencontrer quelqu’un, peut-être aux portes du Paradis comme on vous le décrit, quoi qui corresponde à la métaphore de, du départ, et de venir rencontrer quelqu’un de l’autre côté pour la première fois. Comment c’est? Je vais vous le dire.
Parce que ça va être, ce dont vous allez vous souvenir, ce que c’est, la première chose que vous allez rencontrer, et voir, et ressentir (rires), c’est la joie. C’est ce que je veux vous dire. Il s’agit probablement d’une des plus massives et profondes vérités que je pouvais vous révéler. Comment est-ce de l’autre côté? Joyeux.
C’est là l’essence de la Source créatrice de l’Univers, de votre essence, de celle de votre galaxie, que j’essaie de vous communiquer en vous disant que quand vous trouvez la joie, vous avez tout trouvé. Vous trouvez la santé. Vous trouvez la prolongation de la vie. Vous trouvez la beauté.
Vous trouvez des raisons d’être en vie. Vous trouvez la paix. Et quand cette planète commencera à devenir ce qu’elle va devenir, vous allez regarder en arrière et vous dire : “Qu’est-ce qui a fait la différence?” et je vais vous dire, tout le monde pourrait se sourire, et vous ne vous méfieriez de personne.
C’est la vérité, très chers, et c’est pourquoi nous parlons tant de ce dont nous parlons. Il s’agit de faire venir sur Terre ce qui se trouve de l’autre côté du voile, parce que
tandis que le voile commence à se lever, et à s’affaiblir, et à être plus transparent, vous n’allez pas seulement trouver plus d’intégrité, mais également plus de raisons d’être rires, bonheur et joie. Je ne vous dirais pas cela si ce n’était pas la vérité. Sentez-la dans votre essence même. Parce que vous avez la capacité de discerner, maintenant, si ce que je vous dis est vrai ou non.
C’est en vous, cela fait partie de vous. Vieille Âme, c’est dans la lignée de cette raison que vous êtes ici aujourd’hui, après 2012. Pour enlever le bouchon qui emprisonne la vieille énergie et vous échapper – vers la joie. Je suis Kryeon, empli d’amour pour l’humanité, pour une bonne raison.
Et il en est ainsi.
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