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Salutations très chers, je suis Kryeon du Service Magnétique.
C’est un jour d’introspection, un jour où beaucoup regardent à l’intérieur et voient : « qu’est-ce que peux faire ? me disent-ils, pour changer mais surtout pas la situation d’un côté pratique, mais par rapport à ce que je ressens ». En effet, en ce moment, la situation est contrôlée, comme vous le savez. Ceci est la canalisation numéro deux d’une série de quatre qui parle de la joie et nous avons commencé ce matin ce message.
Trouver la joie au milieu du chaos est difficile et pourtant, c’est ce que l’on demande à beaucoup d’entre vous en ce moment, mes chers, à ceux qui nous écouteront plus tard, je répète que ce message est donné au milieu de la deuxième vague du virus de l’an 2020 au mois de juillet. Pour beaucoup, ce n’est pas une bonne période et ce qui rend les choses difficiles, c’est l’inconnu. Combien de temps durera la prochaine étape ?
Comment pouvez-vous planifier l’avenir quand vous ne savez pas vraiment ce que l’avenir vous apportera avec cette sorte de normalité dans laquelle vous planifiez habituellement ?
Quand vous dites que : « voilà, je vais prendre des vacances à ce moment-ci et je vais faire ceci, je vais peut-être même sortir et passer un bon moment durant ce moment-là », aucune de ces choses n’est possible comme avant. Cela crée de l’anxiété même chez ceux qui disent : « Eh bien, je suis d’accord avec toutes ces choses et je vais bien ».
Je dirais qu’il y a pourtant un élément d’incertitude qui ne convient pas, qui n’est pas facile et cela concerne tout le monde. Ces messages vous apportent des réponses, et ces réponses portent sur la façon de créer de la joie dans votre vie et se réfèrent à ce que j’ai décrit précédemment, à savoir celui de trouver l’enfant intérieur, qui est un souvenir que vous avez tous en vous.
Le temps où vous étiez enfant et où vous vous inquiétiez de très peu de choses, voire de rien du tout, un temps de jeu et de bonheur, d’étourdissement, de ricanements et d’innocence.
C’est toujours là, nous avons dit que la semence de l’enfant intérieur est la joie, c’est le remède qui se cache là, attendant d’être trouvé et de nouveau déposé sur vous pour des moments comme ceux-ci. J’aimerais vous donner quatre suggestions et chacune d’entre elles fera lever les yeux au ciel de ceux qui travaillent dans la linéarité et la logique et qui ne comprennent pas qu’il y a autre chose dans le reste de l’histoire et je vais vous donner l’une des trois dans un instant.
Ne serait-il pas formidable d’avoir une situation où rien ne change encore, et où demain et le jour suivant, vous pouvez vous réveiller avec un visage paisible ; non seulement cela, mais ceux qui vous entourent le verraient aussi. Cela sera pour la 3ème canalisation. Je viens d’en parler mais c’est pour demain.
Quatre attributs, quatre choses que vous pourriez essayer et dont beaucoup d’entre vous diront que ça ne va pas marcher parce que vous ne comprenez pas vraiment qu’il y a beaucoup plus de choses qu’il n’y paraît dans ce que je vais vous donner et qui peut venir de bien d’autres façons ; ce qui vient de votre corps inné ; ce que votre corps écoute et attend ; et ce qui vient de l’aide que vous recevez de l’autre côté du voile.
Qu’est-ce que nous vous avons dit au cours des 30 dernières années sur la façon dont votre corps travaille avec vous ? Vous avez ce qu’on appelle un corps intelligent. Ce corps intelligent est la partie à laquelle l’homéopathie s’adresse. C’est la partie qui en sait plus que vous.
C’est la partie qui comprend votre système immunitaire, c’est une partie qui s’occupe de la maladie, l’idée est que vous continuez en allez de l’avant, à gagner votre vie et à faire toutes les choses que vous faites pendant que le corps intelligent fait le reste.
Cela signifie qu’il y a des morceaux et des parties de vous qui fonctionnent même si vous ne comprenez pas ce qu’ils font. C’est la survie : c’est construit ainsi en vous et c’est beau, alors utilisons-le maintenant, utilisons-le.
Numéro un : cela va sembler trop simple. Tout cela va sembler trop simple. Je veux que vous trouviez des affirmations positives, pacifiques et pleines de sens et que vous les mémorisiez. Ne les lisez pas. Mettez-les dans votre esprit, mémorisez-les et prononcez-les peut-être trois fois, peut-être quatre fois, et vous le faites aussi souvent que nécessaire et vous commencez la journée avec ça. Vous vous levez et vous vous sentez horriblement mal.
Vous commencez la journée avec ça. Nous allons parler de cette idée que c’est un oxymore que de rester assis là, dans la douleur, pendant que vous mémorisez une affirmation qui dit » je me sens bien « , et les gens diront que c’est juste stupide.
Cela ne l’est pas. « Cela n’est ésotérique, ce n’est pas spirituel, c’est juste stupide ! Je suis censé mémoriser une affirmation qui dit que je me sens bien alors que ce n’est pas le cas ? » Oui, c’est exactement cela. Il y a autre chose qui se passe, mes chers, et je le répète, je vais marteler cette idée jusqu’à ce que vous soyez fatigués de l’entendre.
Le corps vous écoute, il entend des mots et il agit sur des choses en fonction de votre conscience qui est le patron. Y avez-vous déjà pensé ? Si vous êtes le patron de votre propre corps et le patron de votre propre conscience, comment dites-vous à votre corps ce qu’il doit faire ?
La vraie réponse est de le dire à voix haute, si vous commencez à avoir des affirmations de paix : « Je suis un être humain pacifique. Je participe à la joie de la création dans la bienveillance d’un Créateur qui m’aime ainsi que ce qui m’entoure qui est naturel et beau ».
C’est simple. En même temps, vous vous sentez mal. Oui, ça marche ? Oui. Si ce n’était pas le cas, il n’y aurait pas une multitude de méthodes d’affirmation, de cartes et d’enseignements partout sur la planète. Oui, ça marche et la méthodologie ou la conscience de la logique de tout cela, c’est que votre corps intelligent est à l’écoute. Nous l’avons toujours dit, votre structure cellulaire est toujours à l’écoute.
Parlez aux cellules de votre corps même si vous pensez à une chose biologiquement et chimiquement ; votre corps va réagir à autre chose. C’est pourquoi ça fonctionne. Mémorisez-en au moins trois et dites-les le matin, dites-les le soir, dites-les pendant la journée.
Au bout d’un moment, votre inné commence à comprendre que c’est une demande, peut-être même une exigence. Il commence à changer chimiquement et quand votre chimie change, vos pensées changent.
Vous savez cela. Vous savez ce que c’est que de se sentir mal et ce que c’est que de se sentir bien, cher amis, vous savez tous cela, et vous savez que chimiquement, vous vous sentez d’une certaine manière. Tout n’est pas dans votre tête, c’est lié à votre degré de fatigue, à la vitalité que vous ressentez ou si vous avez envie de parler beaucoup ou pas du tout. C’est chimique.
Ce n’est pas seulement dans votre cerveau et donc les affirmations agissent pour vous, et cela commence à réagir dans ce corps intelligent, et ceci fait le reste pour vous.
Numéro deux. Non seulement c’est similaire, mais ça se ressemble, avec une petite nuance. Vous avez tous eu des moments où vous avez ri à gorge déployée à cause d’une source extérieure, peut-être que cette source extérieure est un livre merveilleux, peut-être que c’est un film que vous avez vu ou une vidéo ou n’importe quelle image ou encore du plaisir avec les animaux que vous avez eus ou les souvenirs que vous avez eus ?
Quoi que ce soit, je veux que vous le trouviez et que vous le rejouiez. Plus vous passez de temps dans les choses qui vous faisaient rire avant, plus cela déclenche cette mémoire musculaire du rire, du souvenir et du bon temps. S’il y a eu des films que vous avez vraiment appréciés et qui vous ont fait rire, regardez-les à nouveau et vous pouvez dire : « Ça ne marchera pas Kryeon, ok, je vais le mettre ».
Je vous garantis qu’au bout d’un moment, vous allez rire et que votre chimie va le sentir et que la chimie de votre corps va dire : « C’est une bonne chose, je vais changer, je vais changer mon état d’inquiétude et d’anxiété qui cause la maladie et la mauvaise santé et je vais commencer à changer cette chimie ».
Votre chimie change quand vous riez ! Saviez-vous que trouver la joie au milieu de ce chaos n’est pas aussi difficile que vous le pensez ? Mais vous y travaillez, que vous le vouliez ou non, vous y travaillez ! C’est donc le numéro deux. Trouvez un stimulus qui dans le passé vous a diverti et fait rire et recommencez, trouvez-le.
« Eh bien Kryeon, il n’y a vraiment eu qu’un seul film qui m’a fait rire dans ma vie ». Alors, prenez-le et regardez-le tous les jours (rires) parce que vous ne vous lasserez pas de rire. Personne ne se lasse. Même si vous savez ce qui vous attend, vous savez toujours que vous regardez des films encore et encore parce qu’ils sont un divertissement et qu’ils apaisent votre cœur. C’est le numéro deux.
Le numéro trois est un axiome et le voici : connaître une vérité fondamentale. Il y a deux parties dans cette vérité. La première partie : votre corps veut guérir. C’est la survie. Tout, dans l’inné, est créé pour survivre. Votre corps le veut plus que votre conscience. Il y a donc une formidable coopération qui se met en place immédiatement.
Lorsque vous commencez à le faire, l’intention de ce que vous faites est perçue par votre corps, par votre inné, même des parties de votre conscience savent ce que vous essayez de faire.
Encore une fois, lorsque vous vous sentez mal, en posant ces semblants de pansements, les affirmations, les films, le corps voit ce que vous essayez de faire et coopère ensuite. En d’autres termes, vous devez aider ici. Cette aide est l’instinct de survie de votre inné. Il veut rire. Il veut sortir de cette dépression, mes chers. Peu importe ce qu’il se passe autour de vous, vous pouvez être en paix avec toutes choses, et joyeux.
Est-ce que cela aide si vous ne l’êtes pas ? C’est une des questions n’est-ce pas ? Comment cela va-t-il accélérer ce qui se passe en dehors de chez vous ? La réponse est : ça ne le fera pas, ça ne le fera pas. Mais je vous donne les choses qui vous garderont en meilleure santé pendant que vous êtes chez vous. La deuxième partie de ce numéro trois est spirituelle.
Le Créateur se soucie de vous, plus que vous ne le pensez, et quand vous commencez à faire ce genre de choses et à trouver l’enfant intérieur, à dire les affirmations, je vous dirais qu’il y a une paix, et une partie de votre Âme voit alors qu’avec votre libre arbitre, vous avez décidé d’un processus avec lequel elle va maintenant aider à coopérer. Avez-vous compris ?
Vous avez le libre choix ! C’est tellement important. Si vous aviez une idée de ce que cela signifie vraiment. Vous avez le choix de mourir tôt si vous le souhaitez, si vous le souhaitez. Vous avez le choix de rester sur la planète si vous le souhaitez, mais voici la règle que vous devez connaître, la règle que vous devez connaître si vous choisissez de trouver des morceaux et des parties du Créateur en vous, si vous choisissez cela, la lumière commence à briller !
Elle le fait vraiment ! Les morceaux de votre âme disent cela : « regarde ce que l’humain a fait. L’humain nous donne la permission. Ouvre la porte, ouvre la porte, ouvre la porte ! » C’est ce que nous ressentons. Libre choix, ouvrez la porte, entrez et aidez-les à sortir ! Vos guides se montrent. Vos rêves commencent à se préciser. Vous sentez plus de bienveillance autour de vous.
Vous ne savez pas pourquoi. Je vais vous dire pourquoi : parce que vous l’avez fait ! Vous avez essayé ! Vous avez montré votre intention ! C’est le libre choix ! Je ne peux pas vous dire jusqu’à quel point cela est significatif pour nous que vous disiez oui, mais vous devez ouvrir la porte. C’était le numéro trois.
Si l’un d’entre vous veut regarder ces choses avec la numérologie, c’est une autre histoire. Je vous ai dit que tout signifie autre chose. Que signifie le numéro un ? Que signifie le numéro deux ? Que signifie le numéro trois ? Le quatre ?
Continuez si vous souhaitez le faire. Avez-vous déjà observé la nature ? Vous êtes-vous déjà demandé comment elle fait en cas de tempête ou de catastrophe, lorsque le soleil se montre ?
C’est presque comme si la nature ne faisait que travailler, elle ne fait que travailler. Ça n’a pas l’air de la déranger. C’est ce que vous êtes. Vous faites partie du fonctionnement naturel de la Terre. Vous faites partie de Gaia.
Vous venez de Gaia, alors si vous pensez que ça ne fonctionne pas, insistez si vous le devez, parce que ça vous met dans le rythme, ce rythme absolument merveilleux que vous allez trouver dans la nature, qui fonctionne simplement, qui survit, qui apparaît, et le soleil sort et vous réalisez plus tard que les animaux ont survécu et que cela semble être une chose simple, mais je vous dirais qu’il y a un rythme dans lequel vous pouvez être et qui fait partie de votre survie sur la planète, de votre connexion avec Tout ce qui est.
C’est bienveillant et vous commencez à réaliser : « je fais partie d’un ensemble plus vaste que moi ! » Le numéro quatre devient une prise de conscience de vous avec tout le reste. Quand vous commencez à comprendre que peu importe ce qui se passe dans votre travail, dans vos relations ou dans tout ce qui vous cause de l’anxiété et du chaos en ce moment, tout cela n’est rien en comparaison de la partie de la création que vous êtes sur cette planète ou de ce que cela signifie à grande échelle.
Il y a 31 ans, je vous ai dit ces choses. Vous êtes plus grand que vous ne le pensez. Vous êtes plus aimé que vous ne le pensez.
Vous méritez plus que ce que vous avez parce que vous n’ouvrez pas la porte assez souvent et nous sommes là, la main tendue, à vous dire : « quand allez-vous réaliser à quel point vous êtes magnifique ? » Le numéro quatre est la réalisation de la magnificence. Vous faites partie du plan, vous faites partie de la Terre.
Toutes ces choses sont tellement plus grandes. Je vous garantis que si vous faites ces quatre choses, en les connaissant, en comprenant que vous avez de l’aide, en pratiquant le rire, en faisant des choses qui vous ont fait rire dans le passé, les affirmations, vous aurez un autre angle de vue et réaliserez que face au chaos vous direz : « je suis tellement plus paisible que je ne l’étais ».
Les mots de paix qui passent, passent par la compréhension que vous êtes trop en paix (rires) et les gens diront : « qu’est-ce qui ne va pas chez vous ? Pourquoi n’êtes-vous plus déprimé ? Je suis déprimé, vous êtes déprimé ! », et bien c’est le numéro trois. Nous allons parler de cela demain.
Comment transmettre ce que vous allez faire et ce que vous allez apprendre et le changement du chaos dans votre vie. Comment transmettre cela aux autres ou pouvez-vous ou devriez-vous ? Nous en parlerons à notre retour. Toutes ces choses sont pour maintenant, pour cette époque, pour ce mois de juillet 2020 et vous savez ce qui se passe. Nous vous disons ces choses avec beaucoup d’amour parce que c’est ce que nous sommes, en amour avec vous.
Et c’est ainsi.
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