Trouver la joie au milieu du chaos – Partie 1 de 4

Indianapolis – Indiana, 25 et 26 juillet 2020

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Salutations très chers, je suis Kryeon du Service Magnétique.

J’aimerais faire une série de quatre canalisations comme je l’ai souvent fait. Toutes les réunions que mon partenaire organise ne se prêteraient pas à ce genre de chose, l’examen d’un sujet qui permettrait plusieurs canalisations au lieu d’une simple et courte et celle-ci va être ce que j’appellerais pertinente pour la situation actuelle.

Si ceux qui se mettront à l’écoute plus tard, ne prenaient pas la date en compte, ils ne comprendraient pas nécessairement ce que nous faisons.

Vous êtes au milieu de ce que certains ont appelé la deuxième vague dans votre pays, de ce que vous avez ensuite appelé le confinement, n’étant peut-être pas confiné comme lors de la première vague, mais toujours dans un moment où vous ne pouvez pas faire les choses que vous faites habituellement, un moment où vous devez porter des choses que vous ne porteriez pas en temps normal, un moment où vous ne pouvez pas sortir et faire la fête, peut-être même ne pas aller au travail.

Ce sont des temps difficiles et ils ont des répercussions. Je voudrais intituler ces canalisations « Trouver la au milieu du chaos », « Trouver la joie au milieu du chaos ». Je ne peux pas sous-estimer le pouvoir de de la joie.

J’ai fait récemment une canalisation qui parlait de certaines choses profondes et des influences que certaines émotions, actions et choses exercent sur l’être humain et la joie en faisait partie. Et maintenant, je veux continuer en vous donnant des informations que vous n’avez probablement pas.

Lorsque tout ce discours sur ce virus sera terminé, que ce sera de l’histoire ancienne et ce sera le cas, il pourrait y avoir beaucoup de choses connues, qui ne sont pas révélées pour le moment, mais seulement soupçonnées et je vais vous dire lesquelles.

Les professionnels de santé, les hôpitaux, ceux qui s’occupent des personnes malades vont montrer dans leurs graphiques et leurs tableaux de chiffres, la hausse comme ils vont l’appeler, d’autres maladies pendant le virus.

En d’autres termes, pendant cette période où vous vous protégiez d’une chose, vous avez créé autre chose et cette autre chose est créée parce que votre chimie y réagit. La chimie dans votre corps est connectée à votre de manière si profonde, qu’elle réagit à l’anxiété, à la , au stress, au malheur et vous savez que j’ai raison.

C’est une invitation à avoir d’autres maladies éventuellement parce que votre système immunitaire est désorganisé, affaibli si vous voulez le dire ainsi, c’est ce qui se passe quand vous ne vous sentez pas bien, quand vous avez peur, quand vous êtes anxieux, quand vous êtes inquiet et malheureux.

Vous pourriez donc dire que ce vieil adage que vous avez entendu, selon lequel le rire est le meilleur remède, est vrai. Les médecins qui entendent cela seront d’ et ils hocheront la tête pour dire « nous avons vu cela ».

Par sa seule conscience, l’être humain a la capacité, de se maintenir en , même au-delà d’un point où il ne devrait plus être là. Je le souligne et j’ai déjà demandé à un chirurgien, il vous dira qu’il y a un grand nombre de cas où une grand-mère ou un grand-père voudra voir comment se déroulera l’opération sur ses petits-enfants, et attendra des mois jusqu’à ce que cela arrive et jusqu’à ce qu’ils en soient sortis, puis ils décéderont presque le lendemain.

Demandez aux psychologues comment la même chose peut se produire lorsque les grands-parents restent en vie jusqu’à ce que leurs petits-enfants obtiennent leur diplôme, puis ils décèdent. C’est le genre de contrôle que vous avez. Votre corps est lié à votre conscience et vous pouvez donc réellement prolonger votre vie si vous le souhaitez.

Avez-vous déjà pensé que si vous aviez quelque chose de prévu dans dix ans, vous pourriez vous maintenir en vie pour cela, la réponse est oui. Tout ce que vous avez à faire est d’informer votre corps de ce que vous voulez. Vous êtes responsable. Vous l’avez toujours été.

C’est l’information de Kryeon depuis le début, mais la plus grande est la joie, le bonheur et la . Ce sont les choses que nous avons enseignées pendant très longtemps et cela revient à cette prémisse : chaque être humain a la capacité de garder en mémoire l’expression de la joie comme elle s’est produite dans le passé.

C’est dans la mémoire et dans les synapses du cerveau qu’il faut aller la chercher, et la coller, comme un copier/coller, pour être joyeux dans cette période de chaos. C’est faisable. Ce n’est pas une plaisanterie, cela doit venir d’un désir conscient. Vous devez l’appréhender et vous approprier ce que je dis. Vous devez y croire.

Je l’ai déjà dit et je veux le redire, même si vous avez eu une enfance difficile, mes chers, vous vous souvenez qu’enfant vous éprouviez de la joie en jouant avec vos amis, avec vos jouets, avec vos animaux. Ce temps où vous étiez en paix avec vous-même et vous riiez de vous-même. Même si vous avez eu une enfance difficile, ces moments sont toujours présents au fond de vous.

Si vous avez eu une enfance heureuse, vous savez de quoi je parle, si vous avez eu une enfance où vos parents vous aimaient beaucoup et vous aidaient de toutes les manières possibles, vous savez que votre enfant intérieur, alors en vie, est toujours avec vous parce que vous vous en souvenez, même si vous n’étiez pas encore mûr, cet enfant intérieur a une émotion liée à ce souvenir qui est gravée dans votre cerveau.

Il y en a qui rejettent cette idée. Certains se sont laissé dire que quand vous étiez enfant, vous pensiez comme un enfant et que maintenant que vous êtes un adulte, vous n’êtes plus supposé vous comporter comme un enfant. Il y a du vrai dans tout cela, c’est même écrit dans les Ecritures que vous devriez penser comme un adulte maintenant et que vous êtes plus responsable, mais cela ne veut pas dire que vous n’êtes pas censé rire comme un enfant.

C’est ainsi que votre conscience est conçue, mes chers, pour garder ces choses qui vous rendent heureux et paisibles à portée de mains sur une étagère, pour que vous puissiez vous en servir dans les moments difficiles et que vous ne tombiez pas dans un processus inhabituel de noirceur, chaotique dont il est difficile de se sortir.

Je parle à ceux qui sont dans ce processus et je le sais. C’est difficile de dormir la nuit. Quand vous vous réveillez le matin tout revient à la charge, tous les problèmes : comment allez-vous faire ceci, comment allez-vous faire cela, que va-t-il se passer ensuite, quelque chose à laquelle vous n’auriez même pas pensée il y a un an et la voilà.

Je sais qu’il existe des outils à l’intérieur de vous, très chers, qui peuvent vous aider à rester serein et même joyeux en ce moment. Imaginez la possibilité de puiser dans la mémoire et les émotions de votre enfance au moment le plus heureux de votre vie, d’être capable de les faire remonter à votre conscience et de les ressentir là, maintenant, afin de traverser cette période sans maladie supplémentaire, sans l’anxiété que vous avez peut-être en ce moment.

Pour ajouter à ce tableau, il y a aussi ceux qui disent que ces choses ne devraient pas être faites, ils diront : « chaque fois que vous agissez comme un enfant, c’est un affront à votre sexe, homme ou femme.

Surtout les hommes, cela n’est pas compatible avec leur virilité. Je ne rigolerai plus ». Eh bien, si vous avez beaucoup fréquenté mon partenaire, vous savez qu’il rit beaucoup parce qu’il trouve des choses drôles, même dans les moments difficiles pour lui. Il est conscient de savoir où aller, il sait comment faire et il sait aussi que c’est une manière de sauvegarder sa santé.

C’est ce que je veux vous dire, c’est ce que je veux vous enseigner. Il y a ceux qui se sont tellement éloignés de leur enfant intérieur que si vous leur demandez où il est, ils vous diront : « Oui, j’ai pris mon enfant intérieur et je l’ai enterré dans le jardin il y a bien longtemps pour qu’il ne sorte pas, il est mort » et pour eux, c’est parce qu’ils l’ont tué.

Maintenant, cela ne veut pas dire qu’ils ne peuvent pas le ressusciter parce qu’il est vraiment toujours là, mais dans leur conscience, mais leur vérité c’est qu’ils l’ont tué. Et vous ? Quand je parle de toutes ces choses, où en êtes-vous dans ce domaine ? Quand vous vous réveillez le matin, comment vous sentez-vous ?

L’anxiété s’empare-t-elle de votre cœur dès votre et vous inquiète-t-elle toute la journée ? Si c’est le cas, je vous dirais que vous n’êtes pas seul et que c’est pour cela que je fais cette canalisation, très chers. Il n’y a rien de mal à cela mais cela n’a pas de raison d’être. Vous entendez ce que je dis ?

Vous êtes si nombreux à écouter ceci en ce moment et ceux qui l’écouteront plus tard s’y reconnaîtront d’une certaine manière. Je veux prendre ces quatre canalisations et je veux en parler avec , donnant des outils très pratiques qui vont vous sembler trop simples, étranges ou fous. Je vais faire cela dans la prochaine canalisation.

Je sais que vous allez être là parce que ceux qui écoutent ceci vont regarder tout le programme et ceux qui écouteront ceci plus tard pourront trouver toutes les canalisations au même endroit, comme l’a dit mon partenaire sur son site web, où il les recueille, les numérote, il s’assure que personne n’est oublié. Très chers, c’est, je dirais, le message du jour. Je ne vais pas parler de choses profondes par rapport à la Terre en ce moment, ou de sa guérison à venir.

Je veux parler de la guérison qui est nécessaire en ce moment, pour que vous restiez en bonne santé et que vous puissiez tirer parti de cette joie qui est là et qui, comme je le dis, est gravée dans votre cerveau parce que vous en avez fait l’expérience. Vous ne pouvez pas l’effacer même si vous dites que vous le pouvez et que vous le voulez. C’est là et si vous voulez la retrouver, vous le pouvez.

La joie est le grand guérisseur de l’être humain. Le rire est le grand guérisseur de l’être humain, votre chimie change, votre personnalité change et même ce que vous considérez comme votre vision de l’avenir changera parce que cela change votre façon de penser. Rappelez-vous quand vous étiez enfant, assis par terre peut-être, en train de jouer, vous n’aviez rein à craindre, rien du tout.

La seule chose dont vous deviez vous soucier était de savoir combien de temps il vous restait pour jouer. Votre mère vient vous dire de ranger vos jouets et vous lui répondez, oh ! Que c’est la pire chose qui puisse arriver. Revivons ce fait, ce temps où il n’y avait pas à s’inquiéter.

Je reviendrai avec des outils et plus de discussion.

Et c’est ainsi.

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