RETOUR EN LEMURIE – 3 & 4 sur 7

Big Island, Hawaï -décembre 2017

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Table des matières

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Retour en Lémurie – 3 de 7 – Le Cercle d’Enseignement

Dr Amber Wolf : Lorsque nous respirons dans et à travers notre cœur humain au centre de ce beau temple de cristal que nous appelons notre corps, le vaisseau de notre incarnation, nous ouvrons ce cœur d’une manière joyeuse, d’une manière qui nous donne l’opportunité d’avancer dans chaque aspect qui nous appelle à manifester notre , à manifester notre joie et à comprendre combien puissante est notre propre clarté spirituelle lorsque nous nous percevons comme un être pur et clair, que nous faisons confiance à cette ancienne voix qui est maintenant si présente, que nous écoutons et que nous travaillons en harmonie et en unité avec nous-mêmes, dans l’équilibre des possibilités de tout ce qui est et de tout ce qui s’éveille en ce moment.

Nous redémarrons en ce moment, le cœur ouvert, les portes ouvertes, l’esprit ouvert, et en le faisant, nous attirons dans notre vie un ensemble différent de circonstances parce que notre vibration n’est pas ce qu’elle était lorsque nous sommes arrivés ici.

Nous avons été mis à niveau, et avec cette mise à niveau et ce nettoyage, l’Univers répond depuis les profondeurs de la galaxie, nos ondes vibratoires sortent et découvrent ce qui nous attendait.

Et nous lui disons que nous sommes prêts, que nous sommes ici, que le est venu, et que ce temple est prêt. Il y a une clarté, une connaissance et une confiance profonde dans notre propre caractère sacré et en la lumière qui nous habite.

Et la lumière est toujours devant nous, éclairant notre chemin et nous n’avons pas besoin de savoir où sont les marches, parce que la lumière nous montrera, la lumière nous guidera.

C’est une vie qui n’aura jamais besoin d’être remplacée ou de s’assombrir, et elle devient de plus en plus claire à chaque respiration que vous faites passer dans votre cœur, dans ce temple qu’on appelle le corps, dans la structure cristalline de votre ADN, et dans les nerfs, les cellules sanguines, toutes les cellules de votre être qui s’améliorent en même temps que votre conscience, afin que votre corps puisse commencer à contenir de plus en plus de lumière.

La maladie ne semble plus se produire, et la longévité survient, et c’est une longévité avec un but, avec de la joie, avec un service à l’humanité, parce que dans votre , votre compassion du cœur, cela vous pousse à vous élever les uns les autres, et vous ramenez cette joie à la maison, à cet endroit que nous appelons la , à Mère Gaia sur laquelle nous nous tenons, sur laquelle nous nous couchons, qui fait pousser notre nourriture, qui nous apporte l’eau, la lumière du soleil, le clair de lune, les vagues de l’océan, la maison de notre âme dans cette vie, et qui est là pour nous comme nous le sommes pour elle.

Et nous remercions la Source divine et les Mères Étoiles, ainsi que la grille de Gaia qui maintient ce Champ quantique pour que nous puissions jouer, danser et créer à partir d’un lieu de pureté et de conscience.

Nous pouvons chanter et aimer à partir d’un lieu de joie et comprendre que nous sommes aimés et que nous sommes la joie, et que nous sommes l’ illimité de la Source divine. Respirez cela. Laissez-le s’étendre à travers votre corps physique et s’épanouir dans votre source d’amour et de joie illimitée.

Vous êtes sacré. Vous êtes un temple du Divin en ce moment, pas un autre souffle ne passe sans que vous soyez celui ou celle que vous êtes venu incarner ici avec votre Akash purifié et parfait. Et ressentez à l’intérieur de vous ce que c’est que d’entendre ces mots et de ressentir ce sentiment, c’est un motif de célébration, n’est-ce pas ?

Alors prenez quelques instants pour faire une célébration à l’intérieur de vous, un grand oui intérieur, un moment de joie, un moment rempli de lumière de vous qui devenez-vous d’une manière qui est unique à ce jour, à ce moment, à cet endroit, sur notre belle planète ensemble.

Ainsi soit-il.

Retour en Lémurie – 4 de 7 – Le Cercle d’Enseignement

Salutations, mes chers, je suis Kryeon du Service Magnétique. Je souhaite donner un message qui n’a jamais été donné auparavant, des attributs qui n’ont jamais été entendus auparavant du seul fait que je suis en ce lieu.

Et il est temps de donner ce message car il y a celles qui le recevront et le comprendront, celles qui l’écoutent et qui ne sont même pas dans cette pièce. C’est beau car ça parle de l’enseignement des Mères Pléiadiennes. Plus précisément, comment cela a été fait, ce qui a été enseigné, pourquoi cela a été enseigné et qui l’a appris.

Je ne pouvais pas donner ce message, à moins d’être dans cet endroit, au sommet de cette montagne, là où cela s’est passé. Cela ne s’est pas passé au sommet, cela s’est passé sur le rivage. Mais ceci est la montagne, et vous êtes ici et je suis ici.

Je ne pourrais pas donner ce message à moins que je ne sois entouré en ce moment des deux côtés par des enseignantes Lémuriennes et elles sont ici. J’ai utilisé leur Akash ainsi que ce que Kryeon connaît afin de vous présenter cela d’une manière que vous comprendrez.

Mes chères, ce que je vous présente en ce moment sera étudié pour ce qu’il est. Et une partie est énigmatique, une partie ne sera comprise que par les enseignantes d’aujourd’hui. Une partie ne sera comprise que par les physiciens, croyez-le ou non.

Par où commencer ? Cette montagne a été utilisée comme une rampe de lancement akashique pour la vérité. Quelles seraient les premières leçons d’une Mère des étoiles à des êtres humains qui étaient déjà là, qui avaient les 23 chromosomes ? A quoi ressemblerait l’information ?

Quelle en serait la pureté, ou la simplicité, pour que, où qu’ils s’incarnent la fois suivante, cela les suive dans leur Akash ? Ils sauraient ce qu’ils se rappelleraient. Avec le libre choix, ils en ont utilisé une partie ou pas.

Avec leur intelligence et la civilisation qu’ils allaient développer, certains éléments seraient importants, d’autres se développeraient, d’autres encore seraient rejetés. C’est ça le libre choix ! Mais je vais vous donner la vérité brute qui a été enseignée dès le début, depuis les enfants jusqu’aux adultes. Je vais vous dire ce que c’était, et pourquoi.

C’était différent de ce que vous pouvez imaginer. Dans tout ce que je vais vous dire de la part de Celles qui viennent des étoiles, il y a de la sagesse. Vous imaginez peut-être des êtres humains rassemblés ainsi dans un endroit où ils s’assoient et regardent un professeur, mais ce n’était pas du tout comme ça.

Cela commençait dès le plus jeune âge. Et ce qui était enseigné était basé autour d’une forme et, des enfants jusqu’aux adultes, la forme restait la même.

Elle était complexe parce que ce qui se trouvait à l’intérieur de la forme évoluait ensuite. Je m’explique. En premier lieu et c’est le plus complexe : la forme, une roue, un cercle avec des rayons vers le centre. Les rayons vers ce centre étaient au nombre de 5. Cinq rayons vers le centre autour de la roue.

Mon partenaire va lentement, je vais vous transmettre ces choses, vous ne les avez jamais entendues auparavant, et je vais vous donner des visualisations que vous allez ensuite améliorer, en utilisant aussi l’Akash des deux personnes qui sont assises à côté de vous, pour savoir à quoi cela ressemblait et ce qui s’est passé, et ce que vous avez ressenti.

L’enseignante, l’enseignante lémurienne qui était toujours une femme Pléiadienne, n’était pas au centre, elle marchait toujours autour du cercle pendant qu’elle enseignait. Il n’y a donc jamais d’endroit privilégié. Tout a commencé avec les enfants. Si vous étiez une lémurienne et beaucoup d’entre vous l’étaient, vous avez vécu ça lorsque vous étiez enfant.

Le cercle avait un nom. Mais laissez-moi d’abord vous expliquer pourquoi cinq ? Le nom et le nombre vont ensemble, et ce n’est pas de la numérologie, c’était bien avant la numérologie, bien avant.

L’ a vu les énergies des nombres et a développé des systèmes. Mais c’était faux. Il y en avait cinq. Cinq rayons vers le centre. La roue avait un nom, elle s’appelait «la recherche d’équilibre». 

Et elles l’ont appelée une roue bien qu’elle ait été déposée devant eux sur le sol pour qu’ils l’étudient. Un cercle sur le sol avec cinq rayons depuis la circonférence jusqu’au centre. Pourquoi cinq ? Mes chères, cinq n’est pas ce que vous attendez.

Presque tout dans la nature est équilibré par paires. L’énergie de poussée et de traction de la galaxie, le yin et le yang, la lumière et l’obscurité, les lois de la physique, le fort et le faible, tout est par paires. Mais pas le cinq. La recherche de l’équilibre était le sujet de cette roue sacrée. Et les rayons avaient tous des noms, et on les expliquait aux enfants et aux adultes. Pourquoi cinq ?

Et maintenant nous abordons ce que les Pléiadiennes voulaient que l’humanité comprenne et sache depuis le début : les champs magnétiques ! Ha ha ! Ce ne sera pas long, ne partez pas si vous n’aimez pas la science. Les fondements du magnétisme à un niveau d’information très primaire est vraiment simple, Physiciens pardonnez-moi pour cela.

C’est extrêmement simple : un atome qui a trop d’électrons, contre un atome qui n’en a pas assez, crée une attraction entre un plus et un moins en essayant de se connecter l’un à l’autre pour s’équilibrer. C’est un champ magnétique.

C’est le champ bipolaire d’un aimant, le plus et le moins. Nous vous avons dit, depuis que nous avons commencé à vous parler de physique, que le magnétisme est l’une des seules choses de la physique standard qui demande à être modifiée ! Et qu’il existe des moyens de modifier la relation entre ces parties, ces atomes en trop et les atomes en moins.

Si vous pouvez comprendre comment modifier le grand nombre en un petit nombre, et le petit nombre en un grand nombre, vous changez la relation entre les parties, vous modulez l’équilibre de la physique et vous pouvez tout faire !

Cette roue représente le 5 ! Car elle demande l’équilibre même dans la forme de l’enseignement de la roue ! Cinq ! Elle crée six espaces, cinq rayons créent six espaces ! Même avant la numérologie, le six était connu comme un nombre d’équilibre.

L’enseignante était toujours la Mère des étoiles, belle, adorable à contempler car elle était toujours dans la bienveillance et la compassion, les enfants aimaient les Mères des étoiles. Avant l’âge de sept ans, les enfants avaient des prétendues roues.

Ils n’ont jamais pu jouer avec une Mère Pléiadienne, ni apprendre avec elle, avant l’âge de sept ans. Il y avait une cérémonie à ce moment-là, où ils pouvaient commencer à s’asseoir comme des enfants autour d’une roue avec la Mère Pléiadienne.

Les enfants recevaient un enseignement de l’âge de sept à treize ans. À 13 ans, il y avait une séparation des genres et à partir de 13 ans, les roues étaient enseignées aux hommes séparément de celles des femmes. 13 ans correspondait à la moyenne des premières menstruations.

Les «mères» se préparent à être des mères, et ça changeait tout, car elles étaient alors disponibles pour le caractère sacré que les hommes ne voulaient nécessairement pas connaître, car ils comprenaient les différences et les honneurs entre les hommes et les femmes en .

Il y avait une grande différence dans l’attribution des tâches. Ce que les hommes et les femmes savaient faire parfaitement, alors ils le faisaient ! Il n’y avait pas de séparation à cause d’une classe sociale.

La séparation se faisait par rapport à ce que chacun faisait de mieux. On ne demandait pas aux hommes d’avoir des bébés. On ne demandait pas aux femmes de pêcher. Laissez-moi vous dire comment cela fonctionnait. Les femmes restaient là, elles étudiaient, elles avaient leurs enfants et elles s’instruisaient,

elles étaient celles qui étaient les plus intuitives pour dire aux hommes où pêcher, quoi faire et comment le faire. Les hommes s’asseyaient et écoutaient parce que ça fonctionnait ! Les femmes ne s’occupaient pas de la pêche ! Elles étaient douées dans ce qu’elles faisaient, elles donnaient naissance, elles enseignaient, elles apprenaient, elles devenaient les chamanes et elles recevaient les informations les plus avancées.

Je vais vous donner d’autres informations sur les hommes et les femmes. Les hommes ne penseraient jamais à aller en mer et à se donner la peine d’attraper cette prise pour ensuite la donner à cuisiner à une femme. C’était leur poisson !

Il y a quelques blagues que les hommes lémuriens racontaient sur les femmes et que les femmes lémuriennes racontaient sur les hommes. Sont-elles appropriées ?

Je vais demander aux qui sont représentées à ma gauche : puis-je les raconter ? Et les Ancêtres ont dit non. Je suis Kryeon, et je ne réponds pas aux Ancêtres. (rires du public) Et voilà comment se passent les blagues : elles sont courtes. Les hommes se réunissent et plaisantent : «Ne donne jamais un poisson à une femme !

Elle ne saura pas quoi en faire et il finira juste par être béni et il finira dans une cérémonie !» Les hommes le savaient. Les femmes se réunissaient et disaient : «Ne laissez jamais les hommes découvrir les éléments des cercles sacrés, car ils essaieront de les cuisiner !»

C’était des plaisanteries ! Maintenant, je ne suis pas vraiment certain pourquoi les Ancêtres ne voulaient pas que je dise quoi que ce soit.

La répartition s’est faite de manière harmonieuse ! Et les tâches étaient logiques : revenir aux enfants, revenir au cercle, revenir à l’enseignement, création d’un équilibre. La Roue portait ce nom. Cinq rayons. Les enfants s’asseyaient autour de la Roue.

Au début, c’était une information élémentaire et c’est ce dont je vais parler avec vous parce que ça a changé ! Comment peut-on enseigner une seule roue pour toute une vie ?

Je vais vous la montrer. Je vais vous l’expliquer. Vous en comprendrez la complexité, mais ça commence très simplement. Les enfants sont assis en cercle, l’enseignante Pléiadienne se déplace autour de la Roue.

Maintenant, voici ce qui est important : toutes les positions avaient une importance égale, donc l’enseignante était toujours en mouvement, afin que l’être humain ne linéarise pas le processus.

Et cela vaut pour ce qui est abordé au sein de la Roue. Les mères des enfants sont toujours présentes, toujours, de sept à treize ans. Et ceci aussi pour une raison : les enfants n’apprennent pas dans le vide.

Ce qu’on leur donne et ce qu’on leur montre, ils peuvent en discuter intelligemment avec les parents, parce que les parents sont là pour leur apprentissage. Les hommes, bien sûr, vont à la pêche.

C’est ainsi, mes chères, considérez cela et les raisons pour lesquelles il en est ainsi, car les femmes ont l’intuition nécessaire pour s’occuper des enfants. Mais ce n’est pas le cas pour les hommes.

Ils font d’autres choses, ils avaient l’intuition de construire les villages, de rassembler les choses nécessaires à la subsistance, de s’assurer que leurs familles sont prises en charge, d’aller chercher les fruits, d’aller chercher la nourriture. Et les femmes sont là et elles enseignent et elles étudient.

Cinq rayons. Tous dirigés vers un centre. Je vais maintenant révéler quelque chose sur le centre. C’était là toute la portée de l’enseignement des Pléiadiennes. Une roue posée sur le sol, assez grande, avec des enfants et des adultes assis autour de sa périphérie. Tous les rayons allaient vers le centre. Maintenant, le centre n’était pas petit, il était en fait surdimensionné, il a fini par être reconnu comme le Grand Centre.

Au milieu de celui-ci, l’être humain pouvait mettre ce qu’il voulait pour représenter la grandeur du centre. Ils savaient que le Soleil pouvait être ce qu’ils pouvaient imaginer, et ils connaissaient donc l’astronomie simple que les Pléiadiennes leur avaient racontée, à savoir que la Terre tournait autour du Soleil, créant les saisons, en tournant sur elle-même et créant le jour et la nuit.

Et dès le début, même les enfants ont compris que le centre pouvait peut-être être représenté métaphoriquement par un soleil. La nuit, lorsque des enseignements spéciaux étaient donnés, ils allumaient une flamme qui représentait le soleil, une flamme allumée avec de l’huile de poisson.

Très vite, on lui a donné un surnom : le Grand Soleil Central ! Et si vous avez suivi mes enseignements depuis 28 ans, vous savez maintenant ce que cela signifie.

Ce n’est pas un élément de votre galaxie. Ce n’est pas un élément de l’univers. Ce n’est pas quelque chose autour duquel on tourne. C’est le centre de tout apprentissage. C’est le centre de toute vérité. Tous les rayons vont et viennent à partir de ce centre : le Grand Soleil Central.

Depuis le début, nous avons utilisé cette expression et vous ne saviez pas ce que c’était. Maintenant, depuis 2012, vous pouvez vous souvenir de ce que c’est ! Et vous y êtes inclus ! Les rayons portaient un nom et ils portaient des enseignements !

Je vais vous révéler chacun d’eux. Les enfants mémorisaient les noms parce qu’ils ne signifiaient rien, tout comme on mémorise des choses à l’école et qu’elle n’ont un sens que plus tard. Avant même d’avoir vraiment compris les tables de multiplication, vous les mémorisez. Avant de comprendre la grammaire, vous mémorisez parfois les règles.

Les enfants sont doués pour cela. Ils ont mémorisé les cinq noms des rayons parce qu’ils en auront besoin un jour, parce qu’ils changent sans cesse, non pas au niveau de leur nom, mais de leur signification.

Ils signifient quelque chose pour un enfant de sept ans, et ils doivent signifier autre chose pour un enfant de quatorze ans, et oh, ça signifie tellement plus pour une personne de trente ans et une de quarante ans !

Et au moment où vous avez terminé l’enseignement, vous vous attendez à ce que la Roue elle-même s’élève, remplie d’une si grande vérité, alors que les rayons commencent à évoluer par rapport à leurs significations les plus simples et par rapport à leurs noms.

De manière élémentaire, lorsqu’ils leur attribuent des noms, dès le début, les enfants ont une idée de la signification des rayons, mais elles sont toutes inexactes.

Les rayons ont en fait de l’énergie dans les deux directions, du centre vers la circonférence, et de la circonférence vers le centre. Mais ce n’est pas du tout comme ça qu’on les voit au début, ce sont simplement des rayons avec des noms.

Je vais vous donner leurs noms, mais d’abord laissez-moi vous expliquer comment ils étaient présentés à chaque fois qu’ils étaient enseignés, que ce soit avec les enfants ou les adultes. Lorsque l’enseignante Pléiadienne commençait, elle disait : «Commençons par le jeu des nombres».

Il y avait un jeu de nombres. Ce n’était pas des énigmes, mais un jeu ! Et chaque personne à la périphérie du cercle participait à un jeu de nombres qui se terminait de manière appropriée avec une certaine personne, que ce soit des jeunes, des enfants ou des adultes, le jeu était toujours le même.

À chaque fois que le jeu de nombres s’arrêtait, le rayon le plus proche de cette personne qui n’avait pas été étudié ce jour-là, était alors étudié et identifié. Dans la sagesse de l’enseignante, cela signifiait qu’il n’y avait pas de hiérarchie des rayons à ce moment-là. Ha ha ! Il n’y avait rien par lequel ils commençaient ou finissaient, il n’y avait pas de liste, il n’y avait pas de point plus important qu’un autre, pas de hiérarchie du tout !

En apparence, le jeu choisissait ensuite le rayon à identifier ou à étudier. Voyez-vous la sagesse dans tout cela ? Aucun élément n’était plus important que les autres, car tout était centré sur un cercle sans début ni fin.

Imaginons donc que les nombres ont été établis, nous allons donc identifier les rayons sans aucun ordre hiérarchique. Je vais vous donner leurs noms. Je vais vous dire ce que les enfants pensaient qu’ils signifiaient, puis je vous dirai ce qu’ils signifient vraiment. Et là, vous pouvez voir comment vous pourriez étudier un rayon pendant toute une vie, sans jamais vraiment en tirer la leçon complète.

Ce sont des noms simples. Je paraphrase les noms parce que je ne vous donne pas la langue de l’époque. Je fais de mon mieux pour vous donner la signification de ces mots pour les enfants, et c’est là que je commence.

La première fois qu’ils ont entendu les noms, le rayon numéro un a été étudié, ce n’est pas le plus important, ni le moins important, simplement le premier, choisi par le jeu, il a été choisi par le jeu !  Il se nommait le Retour au Centre. Retour au Centre.

Retour au centre. Les enfants ont tout de suite compris et ont dit : «C’est notre Mère Pléiadienne qui vient des étoiles, il doit y avoir un endroit où nous allons quand nous avons terminé ici».

Vous voyez, la notion de l’essence de l’âme était présente en eux, et ils ont tous dit : «Oui, quand nous aurons fini ici, nous retournerons au Centre, le Grand Soleil Central, d’où tout émane, le Centre, le beau Centre, le Retour au Centre». Et ils ont mémorisé «Retour au Centre».

Je vais vous donner le nom des rayons et ensuite on va revenir en arrière pour vous donner la signification telles qu’elles sont en . Le deuxième rayon qui a été étudié est «la direction des étoiles». La direction des étoiles. Les enfants étaient très excités à ce sujet car ils savaient que les Pléiadiennes venaient des étoiles.

Pour arriver jusqu’ici, elles ont dû se diriger d’une manière ou d’une autre, et les enfants ont dit : «Ce sera un jour un rayon dans lequel on nous apprendra à nous diriger parmi les étoiles. Nous pouvons faire ce que les Mères ont fait ! Oui, nous avons compris, nous avons compris «la direction des étoiles».

Le numéro trois est vraiment très compliqué. L’enfance. Qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire l’enfance ? Les enfants ont dit : «C’est le nom du rayon qui est donné aujourd’hui, et il changera demain quand nous serons plus grands. C’est pour nous, nous sommes des enfants. C’est la vie que nous avons en tant qu’enfant. On va nous apprendre comment ça marche !» L’enfance.

Numéro quatre : le Dieu humain. Le Dieu humain ! Ils ont mémorisé ces noms. Le Dieu humain ! C’était la première fois qu’ils disaient : «Il doit y avoir un prophète, il doit y avoir quelque chose qui va arriver, un humain qui devient Dieu. Cela sera pour le futur. Nous ne comprenons pas que nous ne comprenions pas le nom». Le Dieu humain.

Le numéro cinq est simple, mais pas tant que ça. Il s’appelait le Miroir. Le Miroir.

Cinq rayons, avec des noms bizarres, mémorisés par les enfants, et puis l’enseignement a débuté. Lentement, méthodiquement, simplement et avec élégance, les Mères commençaient à enseigner ce qu’étaient les rayons, et pour les enfants, les idées qui leur plaisaient étaient améliorées lentement, et puis à chaque session et chaque année cela devenait un peu plus difficile.

Ce n’est que la troisième année que les enfants ont compris que les rayons allaient dans les deux sens : du centre vers l’extérieur, et de l’extérieur vers le centre. Mais plutôt que de vous présenter les enseignements et toutes leurs permutations et leurs perméations, permettez-moi de vous donner simplement la vérité, la pureté des rayons, les cinq, les cinq vérités de base que ces Mères Pléiadiennes ont voulu donner aux êtres humains, pour les placer dans leur Akash afin que, lorsqu’ils quitteraient la Lémurie, ils sachent, ils sachent que le Retour au Centre, ha ha, c’est la réincarnation !

C’est l’idée que vous allez dans les deux directions : vous venez et vous repartez du Grand Soleil Central. Est-ce que vous étudiez cela de nos jours ? Avez-vous vu la beauté, l’élégance, la complexité, l’honneur et l’amour qui sont apparus dans un système qui vous permet d’aller et venir à partir de ce que vous appelez un Centre, la Source Créatrice ?

Bientôt les enfants qui grandissaient, comprirent que le Grand Soleil Central, ce moyeu, contenait parfois un feu, parfois un fruit, peu importe, c’était le Dieu, l’Esprit, dans lequel tout se trouvait !

C’est devenu la Source Créatrice ! Il est très difficile de parler de la Source Créatrice à un enfant, à moins qu’année après année, il soit exposé à un enseignement élégant et à plusieurs niveaux de compréhension.

C’était le rayon numéro un : la beauté du Retour au Centre, et ensuite du Centre vers l’extérieur, et inversement, l’idée que l’on ne meurt jamais ! Et c’est ce qui a été enseigné aux enfants : la mort est

une transition. Il ne faut pas la craindre, car pour vous, l’essence de l’être revient ! Le corps s’use, mais pas l’âme, et c’est le rayon numéro un, magnifique ! Et il y a aussi le rayon numéro cinq, le rayon numéro trois, le deux et le quatre, en fonction du jeu !

Voici le deuxième que nous étudions aujourd’hui : la direction des étoiles. Oh, oh, vous allez adorer ça ! Oh oh ! Voilà comment votre vie peut être dirigée par les étoiles ! Il s’agit d’astrologie ! La direction des étoiles, et ce dès le début.

Nous avons expliqué pourquoi l’astrologie fonctionne, nous n’allons pas le refaire, mais simplement dire qu’elle fonctionne parce qu’elle a un rapport avec la physique, pas avec l’ésotérisme, mais avec la physique !

Cela a à voir avec le champ magnétique de votre soleil et la gravité, et ils sont liés. Il s’agit de l’empreinte de votre soleil, de la force gravitationnelle des planètes que les enfants voient comme des étoiles ! Ce sont simplement des lumières dans le ciel. Et ce modèle est ensuite propulsé vers cette planète par le vent solaire, et reçu par votre système de gravitation et votre champ magnétique ! Avez-vous déjà vu une aurore boréale ?

Ce sont les étincelles du vent solaire et votre champ magnétique qui se sont combinés pour transmettre l’information à la planète. La direction des étoiles est le nom donné à l’idée que ce que vous voyez dans les cieux peut affecter qui vous êtes et ce que vous faites, en fonction de l’heure de votre naissance.

Et cela ne signifie pas nécessairement la même chose dans l’hémisphère nord ou dans l’hémisphère sud. Vous pourriez étudier cela toute votre vie, le voyez-vous ? Vous pourriez étudier toute votre vie ce que vous appelez l’âme humaine réincarnée ! Cela ne s’appelait pas la réincarnation. Cela parle d’une séparation.

L’incarné, le non incarné, c’était quelque chose qui formait tout simplement un cercle de vie, c’était un cercle de beauté, c’était un cercle d’amour, il n’y avait pas de mort. Ce sont deux concepts, beaux, simples au début et complexes.

Le troisième qui a été étudié et que nous allons vous montrer aujourd’hui est celui de l’Enfance. Oh vous n’allez pas comprendre et certains d’entre vous se gratteront la tête. C’est un des rayons de base et il est tellement important et le voici, mes chers : plus longtemps vous pourrez maintenir l’attitude, l’élégance, l’humour et la joie de l’enfant, plus longtemps vous vivrez ! Ha ha !

L’enfance, ne la perdez pas ! On apprend aux enfants dès la naissance que ce que vous avez maintenant peut disparaître si vous ne faites pas attention. Ne perdez pas cela, car vous commencerez à mourir dès que ce sera le cas.

La maladie peut s’attacher à vous aussi longtemps que vous l’avez laissé tomber. Mais aussi longtemps que vous aurez la joie, l’excitation du petit enfant que vous êtes maintenant, mes chères, aussi longtemps que vous le ferez, vous vivrez une très longue vie !

Ne la laissez pas tomber ! Souvenez-vous-en, peu importe ce qui se passe, peu importe le chagrin qu’il y a, peu importe ce que vous aurez à endurer en tant qu’adulte plus tard, ne perdez pas cela, n’oubliez pas cette enfance ! Cela affectera la durée de votre vie et vous commencerez à mourir dès qu’elle sera partie !

Quelle importance accordez-vous à ce rayon ? Il parle de la de l’être humain, il parle de votre attribut de la nature humaine qui parle à la biologie ! Pouvez-vous imaginer combien de temps ce rayon pourrait être étudié ? L’esprit sur la matière, mais qu’est-ce qui est le plus important dans l’esprit ? Ne perdez pas l’enfant intérieur ! C’est ce que dit la Mère Pléiadienne : «Ne le perdez pas ! Il est primordial pour votre existence !»

Numéro quatre : le Dieu humain. Ha ha ! C’est l’apprentissage qui dit que le Grand Soleil Central, le moyeu, le rayon, est connecté à l’extérieur, il va dans les deux directions : Vous êtes Dieu ! Dieu est vous ! Vous êtes sacrés !Depuis le début, vous avez la possibilité de ne pas comprendre et de mémoriser ces deux mots, jusqu’aux leçons plus poussées qui vous permettent de savoir que vous faites partie de ce centre ! Et c’est pourquoi vous vous réincarnez !

Un seul moyeu qui se met en relation avec les autres, et c’est alors que l’on progresse ! Il n’y en a pas cinq, il y a des couches dans ces cinq qui se parlent les unes aux autres, et le quatre parle au un, et le deux parle au trois. C’est l’élégance et la complexité de la Roue des Cinq.

Le Dieu en vous ne disparaît jamais ! Et on apprend à l’enfant qu’il y a une relation merveilleuse avec le moyeu et qu’il en apprendra plus et qu’il s’y habituera, alors il apprend : «Je suis le moyeu», ce qui deviendra plus tard : «Je suis sacré, je suis Dieu». C’est magnifique.

Numéro cinq, le plus mystérieux : le Miroir. Les enfants ne comprenaient pas le miroir, jusqu’à ce qu’ils soient un peu plus âgés, et qu’ils disent : «Oui, on croit savoir, on croit savoir. On doit se regarder dans le miroir, réparer nos erreurs, mieux se comporter avec nos parents, se regarder dans le miroir et réfléchir sur nous-même !» Ils se trompaient. Maintenant je vais vous dire ce qu’est le Miroir si je peux.

Le Miroir, comment puis-je vous en parler ? Vous vous voyez et vous voyez Dieu ensemble dans le miroir, mais vous ne vous voyez pas. Ce que vous voyez, c’est Dieu. Et vous ne regardez pas un miroir, vous regardez un autre être humain ! Ha ha ! Et le miroir est en vous. Ce n’est que la première étape de la formation et de l’enseignement : chercher Dieu et vous chercher dans les autres.

C’est une similitude qui permet l’unicité de toutes choses. Puis le Miroir commence à refléter Gaia, la nature, il commence à refléter l’humain, et l’humain le reflète dans la compassion, dans les systèmes et dans la façon dont il fonctionne. Vous pourriez dire que le Miroir est une étude approfondie, peut-être l’est-il, mais il est égal à tous les autres.

Le Miroir est encore mal compris aujourd’hui, c’est l’unité de toutes les choses ensemble, c’est l’étude de tout, c’est l’étude du Un. C’est le dérivé -êtes-vous prêts -c’est le dérivé de l’expression : «Je suis que Je Suis !» Voilà ce que sont les cinq rayons !

Pouvez-vous comprendre pourquoi, à un certain moment, l’enseignement a évolué vers ce que vous appelez la Sororité, où les femmes ont appris ce qu’elles devaient savoir en tant que chamanes ? Les hommes en savaient assez pour savoir qu’il y avait une beauté qu’on ne leur enseignait pas parce qu’ils n’étaient pas nécessairement équipés pour l’intuition que cela demandait.

Et tous l’ont compris, tous ! Voilà l’histoire, mes chères. Au début de l’enseignement sur cette montagne par celles qui venaient des étoiles, voici ce qu’elles voulaient dire, voici les personnes qui étaient concernées, et cela a continué pendant des milliers d’années : les vérités fondamentales étaient celles qui allaient créer des humains qui auraient la chance de comprendre et de s’éveiller un jour pour continuer l’étude de la Roue !Bienvenue dans la continuation de la Roue !

Appelez-la comme vous voulez. Tout ce que vous avez appris et vu aujourd’hui en fait partie, tout, et cela continuera à en faire partie ! Je veux que vous preniez un moment pour vous féliciter d’avoir traversé une période que beaucoup n’ont pas traversée, pour l’éveil des points nodaux et des points nuls.

Les Mères Pléiadiennes sont revenues pour que vous puissiez ressentir des choses que vous ne pensiez pas ressentir, pour avoir une compréhension, pour rentrer à la maison avec des choses que vous ne pensiez pas comprendre. Il y a beaucoup à savoir et à se souvenir, chère Lémurienne. Mais cela suffit pour le moment. Et c’est ainsi.

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