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Salutations, mes chers, je suis Kryeon du Service Magnétique.
Nous nous trouvons dans une zone sacrée. Ce n’est pas une zone qui est sacrée parce que quelqu’un vous a dit qu’elle l’était. Elle a son propre caractère sacré. Je veux vous raconter une histoire. Les indigènes de cette planète ont été vus parfois différemment de ce qu’ils étaient.
Dans une société sophistiquée d’aujourd’hui, on les regarderait et on dirait : «Ils ne savaient pas grand-chose, ils étaient comme des enfants et il se passait toutes ces choses, il y avait certaines zones et des volcans qui avaient des noms, des énergies et des déesses, la Terre répondait d’une certaine manière, et il y avait certaines apparitions qui se produisaient ou disparaissaient, ou il y avait certains endroits où vous ne pouviez pas aller parce qu’ils étaient trop sacrés».
Et la société moderne regarde cela et dit : «Je pense que je vais leur tapoter la tête et leur dire : Passez une bonne journée, nous sommes plus sophistiqués aujourd’hui, nous en savons davantage». Et ce que j’ai dit et redit, c’est que vous avez été éduqués hors des choses les plus sacrées qu’un humain puisse connaître, pendant des siècles. Ce que les indigènes possédaient était une alliance avec la planète, elle ne s’appelle pas Terre Mère sans raison.
Tout ce qu’ils avaient, émanait du sol. Ils comprenaient combien il était important d’être dans les arbres, ils ne connaissaient pas la photosynthèse, ils ne connaissaient pas les relations symbiotiques, mais ce qu’ils savaient, c’est que s’ils honoraient la terre, elle les honorait en retour, et dans le processus, ils devenaient un avec la terre. Et votre conscience soutient ce genre d’évolution.
Et grâce à cela, viennent des choses que vous méritez, et vous commencez à voir dans les rochers, dans le sol et dans les arbres, d’une manière qui n’est pas métaphorique. Il y a de la 3D et de la non 3D, mais c’est très très réel. Et donc, encore et encore, cette relation qu’ils avaient avec la terre, leur donnait ce dont ils avaient besoin, y compris la pluie, alors qu’ils n’en avaient pas. Ils étaient capables de communiquer avec les éléments.
Les éléments leur disaient quand se déplacer avant que les éléments ne deviennent sévères peut-être pendant un certain temps. Toutes ces choses n’étaient pas puériles. C’était peut-être les choses les plus sages qui aient jamais existé sur cette planète, une compréhension de ce qu’était Gaia.
Et donc aujourd’hui il y a un changement. Et ce changement, je l’appelle un retour aux principes lémuriens de la vérité fondamentale et de la compréhension, un réveil d’une partie de cette sagesse. Cependant, cela ne se fait pas rapidement ni facilement pour quiconque œuvre dans la culture dans laquelle je parle, une société qui d’abord n’y croit pas, qui ensuite pense que ceux qui y croient sont fous, et qui enfin ne veut pas vraiment essayer.
Donc vous pouvez voir que le travail qui vous attend pour débuter une alliance que vous n’avez jamais eue auparavant, nécessite une certaine confiance. D’abord, le voulez-vous ? Même si vous ne le croyez pas, le voulez-vous ? Voyez-vous peut-être la sagesse que certains Anciens détenaient, que les indigènes détenaient, qui était peut-être supérieure à celle que vous avez aujourd’hui ? Aimeriez-vous en raviver un peu ?
Le conseil est donc de commencer par l’intention. «Oui, je le veux». Cela va loin, car ceux que vous appelez les entités dans la montagne ne sont que des énergies qui sont ici depuis très longtemps, qui prennent la forme de tant de choses différentes, mais ces métaphores qui sont ici dans la montagne, les villes que vous voyez ou percevez ou dont vous parlez, vous diront qu’il y a un rassemblement.
Et ce rassemblement est sacré ici, et il est vraiment réel. Et si vous gravissez la montagne sans en avoir conscience et sans y croire, tous ceux qui sont ici, qui maintiennent l’amour et l’énergie pour vous, resteront loin de vous, afin d’honorer votre croyance. Comprenez-vous cela ? Ils ne viendront pas vous importuner, ils ne vous domineront pas.
Mais si vous dites : «J’aimerais en savoir plus, prenez ma main un instant, faites-le doucement et confirmez-moi qu’il y a plus que des pierres et des arbres ici», alors quelque chose commence à se produire. Et ce quelque chose commence par une intuition ou un souvenir de la montagne quand vous rentrez chez vous, dans lequel vous souhaitez pouvoir revenir parce qu’il y avait quelque chose ici, c’était vraiment le cas !
Peut-être s’agit-il d’un sentiment de paix ou de joie, et à mesure que vous retournez chez vous, même au sein de votre conscience, ce que vous pouvez faire, c’est de commencer à être nourri un peu plus et un peu plus de certaines vérités fondamentales qui ne vous ont jamais été enseignées. Il n’est pas étonnant qu’une société se réveille lentement quand on lui a si fermement enseigné que ça n’existe tout simplement pas. Mais ça existe.
Et donc ceux qui font cette aventure, ce voyage pour commencer à le comprendre, ou à le vouloir ou à en avoir l’intention, donnent l’intention pour la totalité de la chose. Et lentement, très lentement, ils vont commencer à comprendre, peut-être même toucher leur cœur et sourire, et dire : «Je ne savais pas que vous étiez là. Je ne savais pas que vous étiez là».
Et puis l’étape suivante, après l’intention et la conscience, est d’être dans le maintenant de tout cela, d’en profiter, sans chercher à comprendre où cela pourrait mener, en disant simplement : «Je suis. Merci de m’avoir montré une chose à laquelle je ne croyais pas, merci de l’avoir rendu accessible pour moi et pas trop étrange ou bizarre». Et puis l’étape suivante est la mise en pratique.
Ramenez-le à la maison et appliquez-le à votre culture, non pas d’une manière étrange, mais d’une manière telle que ceux qui vous regardent diront : «Mon Dieu, tu es une personne tellement paisible, comment fais-tu ?» Et vous pouvez dire ouvertement : «J’ai découvert quelque chose que les indigènes connaissaient, à savoir qu’il y a une énergie qui est vraiment dans la Terre, elle y est toujours !
Et nous sommes liés à elle, nous avons une relation symbiotique avec elle ! Et cela m’a donné une telle conscience de la paix et m’a appris à travailler avec d’autres êtres humains, et à travailler avec elle, à regarder les animaux et les autres différemment, et à regarder des choses que je ne voulais jamais regarder et à voir en elles, dans les choses que les gens ne veulent pas regarder, y compris peut-être le revers de la médaille de la politique ou d’autres choses que je ne voulais jamais regarder, et constater qu’il y a des choses là !
Qu’il y a de l’amour dans le fait que chacun fait de son mieux, du mieux qu’il peut ! Mais il y a un lien que j’ai découvert, où je peux faire mieux que n’importe lequel d’entre eux, car j’ai trouvé l’amour».
C’est le nouveau mantra, c’est la nouvelle découverte, c’est la naissance d’un nouvel enfant, pourrait-on dire, un enfant de la Terre qui va être plus grand que jamais, un enfant plein de sagesse. C’est une conscience de la lente renaissance de la planète, quand elle se rend compte qu’elle ne veut plus de guerre. Elle va trouver de nouvelles ressources qui n’impliquent pas dutout la planète.
Elle va trouver de nouvelles façons pour la planète de donner les choses qu’elle a toujours voulu donner, la nourriture qu’elle est prête à donner, les médicaments qu’elle est prête à donner, les traitements qu’elle est prête à donner ! Tout est là et les indigènes savaient cela ! C’est la renaissance d’une énergie qui a toujours été là, désireuse de prendre votre main et de dire : «Laisse-moi te montrer quelque chose que tu n’attendais pas».
Et c’est ainsi.
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