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Salutations très chères je suis Kryeon du Service Magnétique. Encore une fois, je dirai que l’Esprit n’est pas dans le vide, il n’est pas dans l’obscurité, et que l’amour de Dieu est partout. L’amour de l’Esprit, la Source Créatrice est toujours avec vous, toujours avec vous. C’est un thème que nous répétons et répétons maintenant depuis 31 ans et pourtant, parfois il n’est pas compris ou apprécié ou connu.
C’est comme si Dieu se tenait sur un mur ou de l’autre côté du mur ou quelque chose que vous devez atteindre ou traverser pour être entendu. Ce n’est pas comme ça. Ceci est un rassemblement pour la guérison et dans peu de temps, je vous donnerai la méditation qui vous fera traverser le pont comme nous le faisons toujours.
C’est une similitude sur laquelle vous pouvez compter. C’est une constance de l’énergie où vous pouvez vous asseoir sur une chaise et sentir l’amour de ceux qui vous entourent. Mais pour le moment, dans ce message particulier, je veux faire quelque chose de similaire.
Sur la planète, en ce moment, il y a tant de souffrance. Et c’est un type de souffrance différent. Il y a toujours de la souffrance à un endroit sur la planète, mais en ce moment, c’est différent. Vous êtes vraiment au milieu de 2020, l’année du virus et la société a été perturbée. La normalité que vous aviez n’est plus là pour le moment. Elle reviendra, mes chers. Elle reviendra différemment, mes chers, et nous en avons discuté.
Je ne suis pas ici pour revenir sur les raisons du virus. Je veux parler de ceux qui souffrent à cause du virus et je ne parle pas du tout de la médecine. Je veux parler de ceux qui sont désemparés, qui ne peuvent pas dormir la nuit, qui ont eu des problèmes dans leur vie à cause de cela ou qui ont eu des problèmes dans leur vie qui semblent accidentels, mais cela leur pèse quand même lourdement.
Beaucoup quittent la planète en ce moment. Beaucoup quittent la planète en ce moment et cela n’a rien à voir avec le virus. L’histoire montrera que le taux de mortalité en dehors du virus est un peu plus élevé que la normale. Je l’ai déjà dit, lorsque votre corps est en proie à la peur, à l’anxiété, au stress, mes chers, cela peut sembler un peu dramatique mais il commence à s’éteindre.
Un arrêt lent. Vous commencez à mourir dès que vous commencez à avoir peur régulièrement et votre vie ne sera pas aussi longue. C’est dire combien il est important de sortir de l’état de la peur.
Nous avons dit combien il était décevant que ceux qui vous dirigent, c’est-à-dire la presse informée que vous avez, qui vous conduisent vers l’information, vous fassent souvent peur.
Et donc vous êtes entourés non seulement d’une situation troublante et angoissante, mais pour aggraver les choses, ceux à qui vous vous adresserez pour obtenir du soutien ou des informations, peut-être dans votre presse ou ceux en qui vous auriez confiance, n’auront pas de bonnes nouvelles pour vous.
La combinaison de tout cela est pour le moins malsaine et beaucoup de personnes se trouvent actuellement dans cette situation. Je veux donc vous en parler et je veux que vous veniez avec moi, que vous vous approchiez un peu plus. Et je veux vous dire quelque chose. Nous allons commencer par cette histoire. Mon partenaire a posé une question un jour à un pilote
commercial, il montait dans un avion et il a demandé au pilote commercial : «Qu’est-ce qui vous fait tenir, vos mauvais jours et vos bons jours et tout le reste ? Et votre emploi du temps, je vois que vous volez tout le temps. Qu’est-ce qui vous fait tenir ?»
Et le pilote a souri et il a dit : «Nous avons appris il y a longtemps, beaucoup d’entre nous, que peu importe le type de journée que nous avons, quand nous arrivons au-dessus des nuages, le soleil brille toujours». C’est vrai.
Si vous avez déjà décollé d’un aéroport en vol commercial et qu’il y a des orages et des nuages sombres, quand vous arrivez au-dessus des nuages, c’est une belle journée. Ce qu’il essayait de dire et de faire, c’est que c’est toujours une belle journée quand il va au-dessus des nuages. J’aimerais utiliser cette métaphore pour que vous preniez conscience de quelque chose.
Peu importe ce que vous ressentez en ce moment, l’amour, la compassion, l’attention sont toujours là. Cela ne disparaît pas parce que vous passez une mauvaise journée. C’est toujours là. Vous avez tendance à construire un mur dans votre dépression. C’est très commun.
Le mur de la dépression, de l’anxiété, de la peur commence à vous bloquer de toutes les bonnes choses. Il vous enlève votre sentiment de paix, de rire, il commence à changer une belle personnalité en une autre qui ne l’est pas. Vous perdez du poids ou vous en prenez mais vous ne restez pas le même. Vous savez que quelque chose est différent et vous savez ce que c’est.
Allons quelque part, vous et moi, juste pour un moment. Vous allez entendre le cercle du 12 comme vous l’avez toujours fait. Mais je veux vous donner quelque chose de similaire, car vous êtes juste assis là. Donnez-vous la permission à cette anxiété, cette peur, à ce manque de paix de changer ? Oui ou non ? Vous remarquerez qu’à chaque message, que ce soit pour traverser le pont ou pour une simple méditation, la première chose que nous faisons, c’est de vous demander si c’est bien pour vous.
Et c’est parce qu’un libre choix est nécessaire. Il est loin le temps, mes chers, où vous vous asseyiez simplement sur la chaise et receviez la visite de l’ange de la paix. Vous devez dire : «Je donne ma permission».
Vous n’allez pas demander à quelqu’un d’autre de le faire pour vous, mes chers, vous allez le faire vous-même, mais pas avec de gros et grands efforts, pas d’escaliers à monter, seulement donner la permission.
Donnez-vous la permission de changer maintenant, de trouver un peu de joie là où vous n’en aviez pas avant ? Et si vous donnez la permission, laissez-moi vous y emmener, à un endroit où vous pouvez vous asseoir. Prenez une respiration.
Et je veux que vous sachiez que les bras de l’Esprit vont ouvrir ces nuages de malheur maintenant, parce que vous avez donné la permission ! Vous avez aussi dit à votre structure cellulaire qu’elle n’a pas besoin de tomber malade, qu’elle n’a pas besoin d’aller à cet endroit qui est malsain.
Et elle commencera à coopérer avec vous dès que vous aurez donné la permission, parce que maintenant vous vous asseyez dans un endroit que vous n’aviez pas auparavant.
Je veux que vous envisagiez, si vous le souhaitez, toutes les entités que vous pouvez même imaginer, que vous respectez. Tous ces maîtres et tous ces anges qui ont traversé les ténèbres parce que, voyez-vous, c’est un jour ensoleillé de l’autre côté !
Cela signifie qu’il y a de la joie, de la compassion et de l’amour et toutes ces choses que vous voulez, que vous avez, et elles traversent ces nuages et vous en êtes la cible aujourd’hui. Pouvez-vous sentir cela ? Pouvez-vous comprendre où je veux en venir ?
Et ils se dirigent vers votre chaise en ce moment parce que vous avez dit oui. «Cher Esprit, je ne suis plus une victime de cette planète. Je ne suis pas une victime de ce monde. Les problèmes n’arrivent pas jusqu’à moi».
À un certain niveau, vous avez donné votre permission parce que vous avez fermé ce trou dans les nuages où les choses aléatoires arrivent au lieu d’être protégé par cette belle idée qu’il y a une conscience en vous qui est en fait vue par Dieu.
Ils sont ici maintenant, ils sont près de cette chaise, ils sont là où vous êtes. Et maintenant je veux que vous sentiez leurs bras autour de vous. Et si vous pouviez les entendre dire quoi que ce soit, ils diraient :«Pourquoi as-tu attendu si longtemps ? Pourquoi as-tu attendu si longtemps ? Laisse-moi te soulever.
Laisse-moi t’emmener un moment au-dessus de ces nuages. Laisse-moi te montrer. Laisse-moi te montrer que le soleil brille toujours. Laisse-moi te montrer qu’il y a de la joie ici, que nous nous soucions de toi. Nous connaissons ton nom et nous t’aimons. Nous t’aimons !»Et s’ils peuvent vous transmettre un message, ils diraient : «Ne laissez pas les nuages se refermer sur vous.
Ne laissez pas cela se produire». Lorsque le message sera terminé, je veux que vous ressentiez et compreniez que le paradigme de vie que vous avez choisi n’est pas nécessairement celui dans lequel vous êtes censé être, que vous êtes censé être dans la joie et la maturité, quoi qu’il se soit passé.
Même si vous avez perdu un être cher, même si cela ne date que de quelques jours, vous pouvez faire votre deuil et être encore heureux d’être de l’autre côté des nuages.
Et dans cette position, vous comprendrez et entendrez même ceux que vous avez aimés et perdus, se joindre soudainement à vous et dire: «Oui, nous sommes nous aussi de l’autre côté des nuages».
Votre conscience peut faire tellement de choses pour sortir de cette position malsaine, et ne soyez pas surpris si les choses commencent à s’améliorer dans votre vie ! Parce que vous seul avez donné la permission pour qu’elles s’améliorent ! C’est la leçon de guérison 101, mes chers, qui est une expression de l’enseignement élémentaire sur la façon de se guérir soi-même !
Et la première est de sentir que l’amour du Créateur est toujours là. Il n’est pas parti ! L’idée que ce Dieu ne vous connaît pas ou ne vous a pas vu ou vous a abandonné, est quelque chose que vous avez inventé. C’est ce que vous avez fait ! Ou on vous a dit quelque chose à ce sujet.
C’est toujours un jour ensoleillé ! L’amour de Dieu est toujours là si vous le permettez. Si vous le permettez. Nous allons revenir dans un petit moment et commencer le cercle du 12. Mes chers, Dieu connaît votre nom, ce qui devrait tout vous dire.
Et c’est ainsi.
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